Émile Zola est né le 2 avril 1840 à Paris. Il était le fils de Francesco Zola, un ingénieur italien qui avait obtenu la citoyenneté française, et d’Emilie Zola, femme d’une famille modeste. Quand Émile avait trois ans, sa famille a déménagé à Aix-en-Provence. Quatre années plus tard, quand Émile avait sept ans en 1847, son père est mort, laissant sa famille sans argent. Zola est allé au collège d’Aix de 1852 à 1857, où il est devenu l’ami de Paul Cézanne. Cette amitié a participé un peu à la formation de la philosophie d’Émile, qui serait le défenseur des « artistes des Batignolles » (aussi connus comme des impressionnistes). Après ses études au collège d’Aix, Émile a déménagé à Paris avec sa mère, qui avait déménagé à Paris à l’avance pour chercher de l’argent pour la famille.À Paris, Émile a rencontré Manet et d’autres peintres, surtout impressionnistes. Émile était quelqu’un qui protégeait les impressionnistes pendant toute sa vie. Zola était très pauvre au début de sa vie indépendante, et il a travaillé comme vendeur d’embarquement pour une maison d’édition. C’était là qu’Émile a eu l’occasion de publier ses premières œuvres : Contes à Ninon, en 1864 et La Confession de Claude, en 1865. Finalement, il a quitté Hachette, la compagnie qui l’employait, et il est devenu journaliste. Puis, il a continué à écrire des œuvres. Le 31 mai 1870, il a épousé Gabrielle-Alexandrine Meley, mais, en 1888, il a eu une liaison avec Jeanne-Sophie Adèle Rozerot. Zola a eu deux enfants d’elle : Denise qui est née le 20 septembre 1889, et Jacques qui est né le 25 septembre 1891.
Dans les années 1880, Zola est devenu de plus en plus engagé et sa philosophie a évolué à ce qu’on appelle le « naturalisme ». Ses histoires de cette époque sont situées au sein de la classe ouvrière et décrivent les luttes humaines. Quand l’empereur Napoléon III a déclaré la guerre contre la Prusse, Zola a publié beaucoup d’histoires contre le concept de la guerre. Il était fortement humaniste. Dix ans après le commencement de la guerre franco-prussienne, il a écrit « L’Attaque du moulin », une nouvelle qui se trouve au début du recueil, Les Soirées de Médan. Cette histoire dépeint la violence de la guerre, les actions brutales des êtres humains, et la destruction qui accompagne la guerre. Émile Zola avait beaucoup de sympathie pour le bourbier humain, quelque chose que Karl Marx était en train de décrire en même temps.
En décembre, 1894, Alfred Dreyfus est passé à la cour martiale. Il était un membre d’État-major du gouvernement.Sous la Troisième République (après la guerre franco-prussienne) est venue une époque où le gouvernement français était très préoccupé par l’espionnage parmi ses rangs en service des pays membres de la Triple Alliance – l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie. Dans la poubelle d’un officier allemand (le gouvernement français avait des espions dans d'autres gouvernements), on a trouvé un bordereau avec des informations très importantes à la France. Il est clair que quelqu’un avait livré des secrets français aux Allemands. Le gouvernement, de plus en plus antisémite, avait accusé à tort Alfred Dreyfus parce qu’il avait l’accès à ces informations et parce qu’il était juif. Dreyfus était complètement innocent, mais à la fin il a été jugé en cour martiale et condamné à l’exil sur l’Ile du Diable. Cette île se trouve au large des côtes d’Amérique du Sud (Guyane française). Le gouvernement a fini par trouver le véritable traître qui avait divulgué des informations aux Allemands trois ans plus tard.
Dans les années 1880, Zola est devenu de plus en plus engagé et sa philosophie a évolué à ce qu’on appelle le « naturalisme ». Ses histoires de cette époque sont situées au sein de la classe ouvrière et décrivent les luttes humaines. Quand l’empereur Napoléon III a déclaré la guerre contre la Prusse, Zola a publié beaucoup d’histoires contre le concept de la guerre. Il était fortement humaniste. Dix ans après le commencement de la guerre franco-prussienne, il a écrit « L’Attaque du moulin », une nouvelle qui se trouve au début du recueil, Les Soirées de Médan. Cette histoire dépeint la violence de la guerre, les actions brutales des êtres humains, et la destruction qui accompagne la guerre. Émile Zola avait beaucoup de sympathie pour le bourbier humain, quelque chose que Karl Marx était en train de décrire en même temps.
En décembre, 1894, Alfred Dreyfus est passé à la cour martiale. Il était un membre d’État-major du gouvernement.Sous la Troisième République (après la guerre franco-prussienne) est venue une époque où le gouvernement français était très préoccupé par l’espionnage parmi ses rangs en service des pays membres de la Triple Alliance – l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie. Dans la poubelle d’un officier allemand (le gouvernement français avait des espions dans d'autres gouvernements), on a trouvé un bordereau avec des informations très importantes à la France. Il est clair que quelqu’un avait livré des secrets français aux Allemands. Le gouvernement, de plus en plus antisémite, avait accusé à tort Alfred Dreyfus parce qu’il avait l’accès à ces informations et parce qu’il était juif. Dreyfus était complètement innocent, mais à la fin il a été jugé en cour martiale et condamné à l’exil sur l’Ile du Diable. Cette île se trouve au large des côtes d’Amérique du Sud (Guyane française). Le gouvernement a fini par trouver le véritable traître qui avait divulgué des informations aux Allemands trois ans plus tard.
Dans son article « J’accuse, » publié en 1898, Zola a accusé le gouvernement d’avoir étouffé l’affaire Dreyfus. L’armée avait, en revanche, accusé Zola de diffamation. Zola a subi dans un procès et a été condamné à une année de prison et à une amende de 3.000 francs. Le 18 juillet 1898, Zola s’est expatrié en Angleterre. Il y est resté un an jusqu’à ce qu’il fût gracié. Finalement, Zola a été asphyxié par la fumée d’un feu dans le foyer de sa chambre en 1902. On l'a enterré le 5 octobre 1902.
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