السبت، 14 يونيو 2014

Les règles du jeu de Mah-Jong.

http://www.desordre.net/textes/romans/chinois/mah-jong/chapitre14.htmlhttp://www.desordre.net/textes/romans/chinois/mah-jong/chapitre14.html

Histoire du Mah-Jong.

Le Mah-Jong est le jeu national en Chine. Il est parfois aussi appelé, le jeu chinois des quatre vents.
De nombreuses théories quant à ses origines existent, mais aucune n’est plus fiable ou plus valable qu’une autre. On croit savoir que le jeu découle d’un jeu de cartes ancien et comportait à ses origines quarante pièces appelées Pai (prononcer paille) (en français, le terme le plus souvent employé est tuile, c’est celui que nous utiliserons ici) lesquelles étaient tout à fait différentes du jeu d’aujourd’hui.
Au XVIIIème siècle le nombre de tuiles augmenta pour atteindre les 108 tuiles, lesquelles représentaient les portraits des 108 brigands d’un roman fameux de l’époque.
Au fil du temps, le nombre de tuiles augmenta encore pour atteindre les 160 tuiles, avec toutes sortes de tuiles de bonus, y compris les tuiles de fleurs. Des réformistes apparurent et limitèrent le nombre de tuiles du jeu pour le rendre plus attractif. Les règles du jeu furent alors entérinées et cellées jusqu’à ce jour. Les tuiles de fleurs telles que nous les connaissons encore aujourd’hui sont des vestiges de cette période antérieure aux réformes.
Le Mah Jong fut introduit au Japon en 1907 pour la première fois et jouit immédiatement d’un succès grandissant jusqu’en 1929. De nombreux clubs de Mah Jong furent créés dans les grands centres urbains et des compétitions furent organisées entre la Chine et le Japon. Suite à la guerre sino-japonaise le jeu fut dûment interdit mais à la fin de la guerre, l’interêt du public pour ce jeu refit surface et il devint encore plus populaire qu’il ne le fût avant guerre.


الأربعاء، 21 مايو 2014

السبت، 11 يناير 2014

الأحد، 22 ديسمبر 2013

Abdülhamid II


Abdülhamid II (autres transcriptions : Abd-ul-Hamid, Abdülhemit, Abdul Hamid, Abd al-Hamid II, Abdul-Hamid, Abdül-Hamîd) (né le 21 septembre 1842 à Istanbul - mort le 10 février 1918 dans la même ville) était le fils du sultan Abdülmecid Ier et d'une Arménienne du Harem nommée Verjine. Il fut Sultan de l'Empire ottoman et Calife des Musulmans de la déposition de son frère Mourad V le 31 août 1876 à sa propre destitution par les Jeunes-Turcs le 27 avril 1909. Il fut remplacé par un autre de ses frères, Mehmed V. À son accession au trône, Abdülhamid II était supposé être animé de principes libéraux, et les plus conservateurs de ses sujets avaient tendance à le regarder avec méfiance comme un réformateur trop zélé. Mais la situation du pays à son accession était mal adaptée à une évolution libérale. Qu'il s'agisse du manque de financement public et de la trésorerie vide, de l'insurrection de 1875 en Bosnie-Herzégovine, de la guerre avec la Serbie et le Monténégro, ou encore de l'émotion soulevée en Europe suite aux méthodes brutales employées pour réprimer la rébellion en Bulgarie, tout incitait le nouveau sultan à ne pas entreprendre les réformes libérales promises lors du traité de Berlin de 1878 signé avec les puissances européennes. Cependant, la Sublime Porte entretenait de bonnes relations avec le Royaume-Uni du fait de sa position de rempart face à l’Empire russe, et commençait à voir l’Allemagne unifiée comme un allié potentiel. Vers 1890, les Arméniens commençaient à réclamer les réformes libérales promises à Berlin. De vives tensions éclatèrent en 1892 et 1893 à Merzifon et Tokat. En 1894, une rébellion arménienne fut sévèrement réprimée dans la région montagneuse de Sassun. Les Européens ont alors exigé une protection pour les Arméniens chrétiens, ce à quoi le sultan a répondu par une série de massacres, les massacres hamidiens perpétrés par l'armée hamidiyeh. Dans toute l'Anatolie, le Haut-plateau arménien et jusqu'à Constantinople, entre 1894 et 1896, ce seront plus de 200 000 Arméniens qui seront tués, quelque 100 000 islamisés de force et plus de 100 000 femmes enlevées pour être envoyées dans des harems1. La position turque diminue ces chiffres à quelques dizaines de milliers. Ces massacres, qui précèdent de deux décennies le génocide arménien, ont valu au sultan le surnom de Kızıl Sultan, le « Sultan Rouge » ou le « Grand Saigneur ». L'humiliation nationale causée par la situation en Macédoine, couplée au ressentiment de l'armée à l'encontre des espions et indicateurs du Palais finirent par provoquer une crise. Pendant l'été 1908, la révolution jeune-turque éclata et Abdülhamid, apprenant que les troupes de Thessalonique menaçaient de marcher sur Constantinople, décida immédiatement de capituler, le 23 juillet. Le 24 juillet, un irade (décret) annonçait le rétablissement de la constitution ottomane de 1876, suspendue depuis 1878. Dès le lendemain, un autre irade abolissait l'espionnage et la censure et ordonnait la libération des prisonniers politiques. Et le 17 décembre le sultan ouvrait la session du parlement ottoman avec un discours du Trône dans lequel il déclarait que le premier parlement avait été « temporairement dissout en attendant que l'instruction du peuple ait été amenée à un niveau suffisamment élevé par l'extension de l'enseignement à travers l'empire ». L'attitude correcte du sultan ne l'exonéra pas de la suspicion d'intriguer avec les puissants éléments réactionnaires présents au sein de l'État, une suspicion confirmée par son attitude vis-à-vis de la contre-révolution du 13 avril 1909, quand une insurrection des soldats soutenue par une révolte populaire conservatrice renversa le gouvernement. Dès sa restauration par les troupes de Thessalonique, le gouvernement se décida à déposer Abdülhamid, et le 27 avril son frère Reşat fut proclamé sultan sous le nom de Mehmed V. L'ex-sultan fut conduit en captivité à Thessalonique et mis en résidence surveillée dans la demeure des Allatini. De retour à Constantinople en 1912, il passa les dernières années de sa vie à étudier, à faire de la menuiserie et à écrire ses mémoires en résidence surveillée au Palais de Beylerbeyi, où il mourut le 10 février 1918. Sultans de l’Empire ottoman XIVe siècle Osman Ier (1299-1326) · Orhan (1326-1360) · Mourad Ier (1360-1389) · Bajazet Ier (1389-1402) · interrègne Drapeau de l'Empire ottoman XVe siècle Mehmed Ier (1413-1421) · Mourad II (1421-1444) · Mehmed II (1444-1446) · Mourad II (1446-1451) · Mehmed II (1451-1481) · Bajazet II (1481-1512) XVIe siècle Sélim Ier (1512-1520) · Soliman Ier (1520-1566) · Sélim II (1566-1574) · Mourad III (1574-1595) · Mehmed III (1595-1603) XVIIe siècle Ahmet Ier (1603-1617) · Moustapha Ier (1617-1618) · Osman II (1618-1622) · Moustapha Ier (1622-1623) · Mourad IV (1623-1640) · Ibrahim Ier (1640-1648) · Mehmed IV (1648-1687) · Soliman II (1687-1691) · Ahmet II (1691-1695) · Moustapha II (1695-1703) XVIIIe siècle Ahmet III (1703-1730) · Mahmoud Ier (1730-1754) · Osman III (1754-1757) · Moustapha III (1757-1774) · Abdülhamid Ier (1774-1789) · Sélim III (1789-1807) XIXe siècle Moustapha IV (1807-1808) · Mahmoud II (1808-1839) · Abdülmecit Ier (1839-1861) · Abdulaziz (1861-1876) · Mourad V (1876) · Abdülhamid II (1876-1909) XXe siècle Mehmed V (1909-1918) · Mehmed VI (1918-1922) · Abdülmecit II (calife, sultanat aboli en 1922)

The Times-Square Suicide of an Ottoman Prince ( by Samuel Dolbee, New York University )


In early August of 1935, a man named Abdul Kerim shot himself in the head in a $3-a-night room at the Hotel Cadillac at 43rd and Broadway in New York City. This man was the grandson of the late Sultan Abdül Hamid II. According to American newspapers, Abdul Kerim had fallen into despair after a Bronx woman had refused his marriage request. He had hoped this marriage might help him procure wealth, with which he intended to raise a mercenary army in China for reclaiming the throne and an Ottoman legacy ended in 1923 with the founding of the Turkish Republic. While Abdul Kerim wished to leverage American wealth and Ottoman nostalgia into future power for himself, others were eager to use Abdul Kerim for their own purposes. The Japanese, for example, had entered talks with the Prince to serve as an emissary to Central Asian Muslims, whom the expanding East Asian power wished to include in their future empire. Another world power with dreams of Chinese expansion also tried to utilize Abdul Kerim, as the Ford Motor company had contracted with him to be their point man in Chinese Turkestan. Even after the end of the Ottoman Empire, the cachet of an Ottoman royal as an emissary to Muslims all around the world lived on, whether to sell Japanese imperialism or cars. Abdul Kerim, however, didn't list either of these sales positions on his immigration form (below) upon entering the United States aboard a ship from Shanghai nearly a year before. Instead, he opted for student. However, this claim did not seem to fool customs officials, who placed an asterisk next to Abdul Kerim's name leading to a note reading, "Prince of Ottoman Empire traveling incognito." He died with 75 cents in his possession, a three-quarters empty bottle of gin by his side, and a .32 caliber revolver in his hand. The imam who presided over Abdul Kerim's funeral service hailed from Brooklyn's Court Street; long before this stretch of the borough became home to Trader Joe's it boasted an Arab community that likely included more than a few Yusufs. Abdul Kerim was buried in Mount Olivet Cemetery in Maspeth, Queens before his remains were to be shipped to Beirut where his family lived in exile.

الأحد، 15 ديسمبر 2013

Peter O'Toole, l'inoubliable Lawrence d'Arabie


L'Irlandais Peter O'Toole qui vient de mourir à l'âge de 81 ans, est entré dans la légende du 7ème art grâce à son interprétation de Lawrence d'Arabie dans l'épopée cinématographique de David Lean. Elevé à Leeds (nord de l'Angleterre), le jeune Peter qui est né dans le Connemara (Irlande), le 2 août 1932, quitte l'école à 14 ans pour devenir garçon de bureau au journal local, le Yorskhire Evening News. A 18 ans, il fait son service militaire dans la Royal Navy. En 1952, une représentation du "Roi Lear" l'incite à entrer, avec une bourse, à la prestigieuse Académie royale d'Art dramatique à Londres où il découvre le répertoire shakespearien. Deux ans plus tard, il devient membre de la prestigieuse Royal Shakespeare Company du Bristol Old Vic (Comté de Gloucestershire), le plus ancien théâtre royal du Royaume-Uni. Il y joue une soixantaine de pièce dont Le Roi Lear, Othello, Hamlet, Macbeth, Roméo et Juliette, Jules César de William Shakespeare, Volpone de Ben Jonson, Major Barbara de George Bernard Shaw, La Paix du dimanche de John Osborne, etc. Après des débuts à la télévision (1954), il apparait dans des comédies musicales à Londres (Oh, My Papa).A 26 ans, il triomphe dans le rôle de Shylock du "Marchand de Venise" puis dans celui de Petruccio de "La mégère apprivoisée". La critique salue en lui un nouveau Laurence Olivier. Venu au grand écran, en 1959, il fonde la société de production Keep Films pour être son propre producteur. La même année, il épouse l'actrice galloise Sian Phillips qui lui donnera deux filles et dont il divorcera 20 ans plus tard. Il aura un fils d'un second mariage. En 1962, le rôle de Lawrence d'Arabie, cet officier britannique entré dans la légende pour avoir combattu les Ottomans aux côté des Arabes (1916-1918), rôle qui avait été refusé par Marlon Brando, lui vaut sa première nomination aux Oscars comme meilleur acteur. Il enchaîne alors les rôles prestigieux au théâtre, comme au cinéma: "Beckett" (1964), "Lord Jim" (1965), "Quoi de neuf Pussycat", avec Romy Schneider, "La nuit des généraux" (1967), "Le lion en hiver" (1968), "Rosebud" (1975), "Mon année préférée" (1982), "Le dernier Empereur" (1987), "Troie" (2004). Son registre est varié et il alterne comédies, drames historiques et films d'horreur. Nominé huit fois aux Oscars dans la catégorie du meilleur acteur, Peter O'Toole reçoit un Oscar d'honneur en 2003.En juillet 2012, quelques semaines avant son 80e anniversaire, ce grand amateur de cricket, de rugby et de pêche à la mouche, annonce qu'il arrête le cinéma et le théâtre.

السبت، 14 ديسمبر 2013

Des régions d'Egypte sous la neige pour la première fois depuis 112 ans!


qu’il n’avait pas neigé sur la capitale Égyptienne. Un belle surprise pour tout le monde. Même le célèbre Sphinx de Gizeh a été recouvert d’une fine pellicule blanche. Plusieurs régions d'Egypte, dont des banlieues du Caire, étaient recouvertes vendredi d'une couche de neige, pour la première fois depuis de longues années selon un responsable du centre météorologique égyptien. "C'est la première fois depuis de très nombreuses années" que l'on voit de la neige dans la région du Caire, a indiqué à l'AFP Ali Abdelazim, de la direction générale de la météorologie. A "Medinati", une ville nouvelle au nord-est du Caire, un habitant a raconté à l'AFP avoir été réveillé par un bruit inhabituel: "à six heures du matin, j'ai entendu les flocons de neige qui s'abattaient sur mes fenêtres", rapporte-t-il, joint par téléphone. D'autres banlieues de la mégalopole égyptienne étaient également touchées par la neige, mais dans une moindre mesure, ont rapporté plusieurs habitants. Dans la péninsule du Sinaï, une couche de plusieurs centimètres de neige recouvrait la région montagneuse de Sainte-Catherine après une tempête de neige, un phénomène qui ne s'était plus produit depuis des décennies. A Rass el-Bar, sur la côte méditerranéenne, jardins, rues et maisons étaient recouverts d'un manteau blanc après de fortes chutes, selon Rania al-Moubachir, qui a affirmé à l'AFP par téléphone "voir cela pour la première fois de sa vie". Des chutes légères de neige ont également été signalées à Alexandrie, la deuxième ville du pays, également dans le nord. Les autorités ont annoncé la fermeture pour le troisième jour consécutif du port en raison du mauvais temps et des vents violents. Une vague de froid frappe depuis plusieurs jours le Moyen-Orient et l'Egypte connaît depuis deux jours des températures exceptionnellement basses et de fortes chutes de pluie.

الأحد، 8 ديسمبر 2013

الأحد، 24 نوفمبر 2013

27 novembre : Hanoucca


Hanouka, appelée également « fête des lumières », est une très grande fête pour les adeptes de la religion juive. Cette célébration symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l’hellénisation (la soumission au pouvoir grec) forcée. Selon l’histoire, Hannouca commémore la victoire des Juifs contre les Grecs, au IIème siècle avant J-C. En effet, à cette époque, les juifs Hasmonéens avaient été assiégés par les grecs Séleucides. Ces derniers, n’acceptant pas leurs pratiques religieuses, avaient pris possession du Temple de Jérusalem, lieu sacrée du Judaïsme. Pendant 3 longues années, les juifs ont donc été persécutés par le peuple occupant. Mais le grand prêtre Mattathias, envoyé par Dieu, a monté une résistance avec ses fils, les Hashmonaïm. Après une lutte acharnée, les juifs réussirent à reprendre possession de leur Temple. D’où vient le nom de la la fête des lumières ? On raconte que lorsque les juifs victorieux allumèrent le candélabre (chandelier) – dont le restant d’huile ne permettait que quelques heures de combustion – pour éclairer le Temple, la flamme brûla pendant 8 jours sans s’éteindre. C’est donc en mémoire de cette victoire et de la symbolique de ces 8 jours de lumière offerte par Dieu que fut créée la fête d’Hanoucca. Les 9 bougies d’Hanoucca Ainsi, dans toutes les maisons, durant ces 8 jours, vous pouvez apercevoir la douce lueur des bougies à la tombée de la nuit. Ce sont les familles qui, en l’honneur du combat de leurs ancêtres, illuminent le chandelier à 9 branches afin d’apporter la lumière dans leur demeure. Les neuf mèches de laine sont trempées dans l’huile d’olive et doivent être allumées tous les soirs pendant au moins ½ heure. Chacune des bougies a une signification bien précise : La 1ère bougie représente la Hanoukyia. La 2ème, la lumière. La 3ème, le miracle. La 4ème, Shabath. La 5ème, l’héroïsme. La 6ème, la langue hébraïque. La 7ème, la solidarité juive. La Huitième, la Paix. Et la 9ème bougie, le Shamash qui signifie « le serviteur ».
Ce chandelier doit être placé sur le bord des fenêtres afin de faire connaître au plus grand nombre l’histoire de cet épisode héroïque et du miracle lumineux. Bon Hanoucca à toutes et à tous !

الأربعاء، 20 نوفمبر 2013



NEIGE - Alerte orange au verglas sur cinq départements Le Point.fr - Publié le 20/11/2013 à 07:50 - Modifié le 20/11/2013 à 08:13 L'Ain, l'Isère, la Haute-Loire, le Rhône et la Loire ont été placés en vigilance orange mercredi matin par Météo-France. La fin de l'événement neigeux est prévue pour l'après-midi. Les départements de l'Ain, de l'Isère, de la Haute-Loire, du Rhône et de la Loire ont été placés en vigilance orange mercredi matin par Météo-France, en raison de risques de neige et de verglas. La fin de l'événement est prévue pour l'après-midi, toujours de même source. "Une perturbation donne actuellement de la neige au-dessus de 200 à 300 m d'altitude. On relève 15 cm à Saint-Étienne à 600 m d'altitude et sur le nord de l'Isère au-dessus de 400-500 m", indique Météo-France. Sur "la Haute-Loire, la Loire, le Rhône, il va neiger jusqu'en début d'après-midi, ensuite la neige faiblira. On attend 1 à 5 cm de neige sur Lyon, 10 à 20 cm supplémentaires au-dessus de 400 m d'altitude, localement 20 à 40 cm sur l'est de la Haute-Loire et le massif du Pilat", selon les prévisionnistes. "Sur l'Ain et le nord-Isère : il va neiger jusqu'en fin de journée, la neige faiblira en soirée. On attend 10 à 20 cm supplémentaires au-dessus de 400 m d'altitude, 3 à 10 cm en plaine", toujours selon Météo-France. L'épisode neigeux est suffisamment notable pour engendrer des difficultés de circulation et perturber certaines activités économiques.


De la neige à Lyon et à Saint-Etienne
Les flocons ont commencé à tomber sur la France. Les départements de l'Ain, de l'Isère, de la Haute-Loire, du Rhône et de la Loire ont été placés en vigilance orange mercredi matin par Météo Consult, en raison de risques de neige et verglas. La neige, qui a commencé à tomber dans la nuit de mardi à mercredi, est présente mardi matin entre le sud de la Bourgogne, la région Rhône-Alpes et l'est de l'Auvergne. Avec des températures proches de 0°C, il neigera jusqu'en milieu d'après-midi jusqu'à très basse altitude dans la région de Lyon ou de Saint-Etienne. La neige tient au sol dès 300 à 400 m. Le manteau neigeux atteint déjà 2 à 5 cm sur Lyon et 10 à 20 cm supplémentaires au-dessus de 400 m d'altitude. On relève déjà des hauteurs de 10 cm à 500 m d'altitude en Isère, et plus de 2 à 4 cm sur les autres départements. Mercredi matin, la ville de Saint-Étienne s'est réveillée avec 20 cm de neige. Les conditions de circulation difficiles «Les conditions de circulation peuvent devenir rapidement très difficiles sur l'ensemble du réseau», prévient Météo France. Des équipements spéciaux sont fortement recommandés en raison des conditions climatiques. Selon Bison Futé, la circulation était délicate ce matin dans l'Ain sur l'A6, l'A40 et l'A42. Dans la Loire, il est également difficile de rouler dans le secteur de Montbrison (A72). Entre Terrenoire et Saint-Étienne, la chaussée est fortement enneigée sur la RN 88 et l' A47 est par ailleurs bloquée en direction de Saint-Étienne. (http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/20/01016-20131120ARTFIG00278-de-la-neige-a-lyon-et-a-saint-etienne.php)

الجمعة، 15 يونيو 2012

Anna


الاثنين، 18 يوليو 2011

الاثنين، 11 يوليو 2011

الأحد، 20 مارس 2011

La "super lune", c'était cette nuit






La super lune a pu être observée cette nuit. Si on l'appelle comme ça, c'est parce qu'il s'agissait de la plus grosse pleine lune depuis 1993. La lune était à la fois pleine et à son point le plus rapproché de la terre. Comparée à d'habitude, la lune était de 14% plus grande que la normale et 30% plus brillante. Voilà toutes les photos de ce bien joli phénomène, observable partout à travers le monde (la première photo a été prise à Namur).

الأربعاء، 16 مارس 2011

Le souverain Akihito s'est adressé à la nation dans un message rarissime



L'empereur du Japon s'est solennellement adressé mercredi à son peuple, confronté à une aggravation de la crise nucléaire et à l'immense tâche de porter secours aux 500 000 sinistrés du séisme et du tsunami. "J'espère sincèrement que nous pourrons empêcher la situation d'empirer", a déclaré l'empereur Akihito, à l'occasion de cette intervention télévisée de quelques minutes. C'est la première fois qu'Akihito, sur le trône depuis 1989, intervient ainsi dans une situation de crise.

L'empereur s'est déclaré "profondément préoccupé par la situation dans la centrale de Fukushima", où s'est poursuivi, mercredi, l'enchaînement alarmant des accidents pour le cinquième jour depuis le séisme le plus fort de l'histoire de l'archipel. Après deux nouveaux incendies dans les réacteurs n° 3 et 4, la radioactivité mesurée à l'entrée du site a augmenté fortement avant de baisser ensuite, a annoncé le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano. Il a précisé que la radioactivité à cet endroit avait atteint "un niveau de l'ordre du millisievert". "Le niveau de radioactivité près de l'entrée varie grandement d'heure en heure à des niveaux qui continuent à être nocifs pour la santé", selon lui.

Zone de sécurité

Le gouvernement a donc évacué pendant plusieurs heures les employés toujours sur le site. La majeure partie des 800 employés avait déjà été évacuée sur ordre des autorités. Les principales inquiétudes concernent la piscine de stockage du combustible usé dans le réacteur n° 4 à la suite d'un incendie survenu mardi, ainsi que l'intégrité de l'enceinte de confinement du réacteur n° 2, endommagé par deux explosions. Yukio Edano a également annoncé que l'enceinte de confinement du réacteur n° 3 avait peut-être été endommagée. Pour la première fois, un hélicoptère a été envoyé pour déverser de l'eau sur ce réacteur afin de tenter de le refroidir.

Le gouvernement n'a pas annoncé, mercredi, de nouvelles mesures de précaution pour la population. Mardi, le Premier ministre Naoto Kan avait élargi la zone de sécurité autour de la centrale, appelant les personnes habitant dans un rayon de 30 kilomètres à rester calfeutrées. Le calme régnait mercredi à Tokyo, où l'activité s'est fortement réduite depuis vendredi. Les vents étaient favorables en poussant vers l'océan Pacifique les rejets radioactifs de la centrale, et cette situation devrait se prolonger au moins jeudi, selon la météo. Les vents sont également scrutés avec une extrême attention par les voisins du Japon, en Chine, en Russie et jusqu'en Californie, au-delà du Pacifique.

Le bilan officiel du séisme et du tsunami s'établissait mercredi à 3 676 décès, mais il devrait continuer à fortement augmenter au fur et à mesure de la découverte des corps dans les champs de ruines n'ayant pas été encore fouillés.

الثلاثاء، 15 مارس 2011

Récit de la journée de mardi Les Japonais tentent d'éviter une catastrophe nucléaire majeure tandis que le bilan du séisme et du tsunami ne cesse de





Récit de la journée de mardi
Les Japonais tentent d'éviter une catastrophe nucléaire majeure tandis que le bilan du séisme et du tsunami ne cesse de s'alourdir.
Toutes les infos
Vue aérienne de la centrale nucléaire de Fukushima le 14 mars 2011L'ESSENTIEL —

• A la centrale Fukushima Daiichi, la situation reste très critique. Le réacteur 4, déjà touché par une explosion mardi, a subi une nouvelle explosion suivie d'un incendie mercredi matin. Tepco, qui exploite la centrale, envisage de verser de l'eau par hélicoptère dans une piscine du réacteur 4 pour refroidir du combustible nucléaire usé. Une explosion s'est également produite mardi dans le réacteur 2, l'enceinte de confinement pourrait être affectée. Le Premier ministre Naoto Kan a élargi la zone de sécurité autour de la centrale en appelant les personnes habitant dans un rayon de 30 kilomètres à rester calfeutrées.

• Le dernier bilan officiel est de 3.313 décès mais il devrait continuer à fortement augmenter. A Tokyo, le taux de radioactivité a légèrement dépassé la normale à la mi-journée, avant de redescendre dans l'après-midi.

• A Bruxelles, les pays de l'UE ont décidé d'effectuer de nouveaux tests de résistance de leurs centrales nucléaires aux tremblements de terre, tsunamis et attaques terroristes.

• Pour aller plus loin: nos diaporama photo, le fil info Twitter, le blog de notre journaliste scientifique Sylvestre Huet, la télé japonaise en direct (en anglais) et la carte du Japon.

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00h40. L’incendie qui s’était déclenché mercredi matin au réacteur 4 de la centrale nucléaire de Fukushima paraît s’être éteint, précise l’agence de sûreté nucléaire japonaise. Selon l’opérateur Tokyo Electric Power (Tepco), «le feu et la fumée sont maintenant invisibles et l’incendie paraît s’être éteint de lui-même», rapporte un porte-parole de l’agence, Minoru Ogoda, cité par l’AFP.

00h18. L’incendie au réacteur 4 de la centrale de Fukushima 1 aurait été maîtrisé, selon Tokyo.

23h45. Un employé de la compagnie d’électricité confirme que de la fumée sort du bâtiment extérieur du réacteur 4, selon un porte-parole de Tokyo Electric Power (Tepco). «Nous en avons immédiatement informé les autorités et les pompiers», a-t-il ajouté. «Nous essayons de l’éteindre». L’explosion, provoquée mardi par de l’hydrogène, avait entraîné un premier incendie qui a troué le toit du bâtiment extérieur de ce réacteur 4.

23h33. Le président américain Barack Obama demande que les Etats-Unis examinent comment «améliorer la sûreté et la performance» de leurs «centrales nucléaires».

22h55. L’opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima annonce qu'un nouvel incendie s’est déclaré mercredi au réacteur 4, déjà touché la veille par une explosion qui a provoqué un premier incendie et endommagé le toit du bâtiment extérieur.

21h49 L’évolution de la situation de la piscine du stockage du réacteur 4 de la centrale de Fukushima, où une «partie des assemblages de combustibles stockés serait désormais découverte», est «préoccupante» selon l’Autorité de sûreté nucléaire française. L’ASN s’inquiète «d’une augmentation significative des rejets radioactifs détectés» en limite du site. «La radioprotection des travailleurs sur le site devient préoccupante», relève l’ASN, qui précise que le gouvernement japonais «a relevé le seuil de dose maximale» autorisée pour les salariés des sites concernés.

20h20 Jean-Luc Mélenchon, co-président du Parti de Gauch assure que «sortir du nucléaire est un impératif». Il estime que le tremblement de terre et l’accident nucléaire au Japon sont «un tournant dans l’histoire de notre humanité».

18h50 Réunion sur le nucléaire à Paris. L'Assemblée et le Sénat tiendront demain après-midi une réunion avec la filière nucléaire (ASN, Areva, IRSN, CEA, EDF...) et la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, sur «la crise nucléaire au Japon».

18h44 Le secrétaire américain à l’Energie y va d'un: «Je pense que globalement, il n'y a aucune inquiétude en termes d'effets sur la santé sur les côtes américaines.»

Par ailleurs, la Marine américaine annonce avoir renforcé «à titre préventif» les mesures de protection de ses troupes présentes au Japon.

18h30 Marchés financiers. La panique qui a touché la Bourse de Tokyo ne cesse de s'aggraver. Les places européennes et Wall Street plongent à leur tour.


Les compagnies aériennes sur le qui-vive
De nombreuses compagnies aériennes prennent des mesures de précaution face aux risques qui pèsent sur le Japon

Certaines réorientent, réduisent ou suppriment leurs vols vers cette destination, voire effectuent un repli vers un autre pays pour les équipages en escale. D'autres opèrent un contrôle de la radioactivité sur les appareils à leur retour.

Si Lufthansa et Air China ne desservent plus Tokyo, Air France maintient les vols et augmente ses capacités.
Air France a renforcé les capacités de ses deux vols quotidiens Paris-Tokyo. La compagnie aérienne française a porté à 944 sièges (contre 871 habituellement) la capacité totale de ses deux vols quotidiens via Séoul, qui seront assurés par deux Boeing 777. Cette mesure est en vigueur jusqu'à dimanche. Air France avait annoncé lundi des "tarifs spéciaux" en aller simple Tokyo-Paris. Des billets étaient disponibles mardi matin sur son site internet à 77.500 yens, soit 678 euros, pour un vol dès mercredi. Les voyagistes français ont décidé mardi de suspendre jusqu'au 31 mars inclus les départs vers le Japon "compte tenu des dernières évolutions de la situation".

La compagnie allemande Lufthansa a suspendu la desserte de Tokyo et détourne ses vols vers Osaka et Nagoya au moins jusqu'à la fin de la semaine.

D'autres compagnies asiatiques ont choisi d'interrompre la desserte de la capitale japonaise au profit d'autres aéroports de l'archipel comme Air China qui a suspendu ses vols vers Tokyo à partir de Pékin et Taiwan. La totalité des vols vers Sendai, dont l'aéroport a été dévasté par le tsunami, a été suspendue.
La compagnie taïwanaise EVA Airways a annulé ses vols vers Tokyo et aussi Sapporo jusqu'à la fin du mois. Les vols vers Sendai ont été annulés jusqu'à fin juin. Ces annulations sont dues au grand nombre de passagers qui renoncent à leur vol, a indiqué un porte-parole de la compagnie.
British Airways, Virgin Atlantic et Finnair ont, elles, maintenu leurs vols vers les deux aéroports de la capitale japonaise, Narita et Haneda. Swiss International Air Lines a mis en place une escale provisoire à Hong Kong, afin de raccourcir les périodes de rotation à Tokyo. La compagnie britannique Virgin Atlantic permet à ses clients de changer leur réservation sans frais.
D'autres compagnies maintiennent les vols
En revanche, Alitalia a fait savoir qu'elle maintenait pour l'instant ses vols à destination de Tokyo et d'Osaka. La compagnie italienne effectue 14 vols par semaines vers Tokyo depuis Rome et Milan, et quatre par semaine vers Osaka. Ses clients ont la possibilité de modifier leur départ d'ici le 31 mars, sans frais supplémentaires.

Cathay Pacific a annoncé suivre l'évolution de la situation, et souligné que rien pour l'instant n'indiquait que ses opérations au Japon seraient affectées. SAS a également annoncé que ses dessertes n'étaient pas modifiées, mais aucun départ pour Tokyo n'était prévu mardi de l'aéroport de Copenhague. Chez SAS, les détenteurs de billets peuvent modifier ou se faire rembourser tout billet réservé pour les 30 prochains jours.

Pas d'annulation à signaler en Malaisie mais des contrôles de radioactivité sur les passagers de vols directs avec Tokyo, selon un porte-parole de l'exploitant des aéroports malaisiens. A Hong Kong, les passagers arrivant du Japon s'inquiétant pour leur santé ont la possibilité de passer un test dans un hôpital public, ont indiqué les autorités.

Ces différentes annonces surviennent alors que l'inquiétude s'accroît autour du risque nucléaire au Japon après le séisme et le tsunami qui ont frappé le nord-est du pays vendredi.
Sources: info.france2.f

الاثنين، 14 مارس 2011

Japon Séisme Japon. Un nouveau Tchernobyl «très improbable» [En Direct]



lundi 14 mars 2011
18h25. Un nouveau Tchernobyl «très improbable».

Il est «très improbable» que la crise actuelle dans la centrale nucléaire de Fukishima 1 dégénère en une situation comparable à celle de l'accident de Tchernobyl, a déclaré lundi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Yukiya Amano.

18h06. Le Japon demande l'aide des Etats-Unis.

Le Japon a demandé aux Etats-Unis une aide sur les questions liées au refroidissement de réacteurs nucléaires, suite aux incidents survenus après le séisme et le tsunami, a indiqué lundi l'autorité de régulation nucléaire américaine.

16h55. Le Japon demande l'aide de l'Agence internationale de l'énergie atomique

Le Japon a officiellement demandé à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) l'envoi d'une équipe d'experts après les explosions dans une centrale nucléaire, a déclaré lundi le directeur général de l'agence onusienne Yukiya Amano

16h40. Incident classé niveau 5 voire 6 sur une échelle de 7.

L'accident survenu dans la centrale nucléaire de Fukushima au Japon pourrait être classé au niveau 5 voire 6 sur l'échelle internationale, a déclaré lundi le président de l'Autorité de sûreté du nucléaire (ASN), André-Claude Lacoste. L'accident nucléaire de Fukushima a atteint un niveau de gravité «au-delà de Three Mile Island (niveau 5) sans atteindre Tchernobyl» (niveau 7 sur 7), a affirmé lundi le président de l'Autorité française de sûreté nucléaire (ASN), André-Claude Lacoste.

16h32. Risques pour la santé pour l'instant minimes.

Les risques pour la santé publique causés par les fuites radioactives survenues dans des centrales nucléaires au Japon sont, pour l'instant, minimes, a estimé lundi l'Organisation mondiale pour la santé (OMS).

16h16. Fukushima: le niveau d'eau dans le réacteur 2 a de nouveau baissé

Le niveau d'eau dans le réacteur 2 de la centrale de Fukushima a de nouveau fortement baissé, ce qui empêche le refroidissement des barres de combustible, ont rapporté les médias, citant l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco).

15h30. Dégâts estimés à près de 130 milliards d'euros

Les dégâts sont estimés entre 170 et 180 milliards de dollars (122 à 129 milliards d'euros), selon une première estimation de Credit Suisse .

Ce montant correspondrait à «moins de 40%» des dommages provoqués par le séisme de Kobe en 1995, explique Hiromichi Shirakawa, chef économiste de Credit Suisse Japon, dans une étude diffusée lundi.

La région touchée vendredi comptait moins d'immeubles de bureaux, d'usines et d'autoroutes que Kobe il y a quinze ans, note-t-il. En outre, il n'y a aucune indication que de grosses usines ou manufactures aient dû fermer.

15h19. L'équipe de France de judo rapatriée du Japon

L'équipe de France de judo, qui était en stage au Japon, a été rapatriée en raison de l'important séisme suivi d'un tsunami qui a frappé ce pays.

Le championnat du monde de patinage artistique, qui devait avoir lieu au Japon, a également été annulé et les patineurs français déjà présents ont aussi été rapatriés.

14h46. L'ambassade de France au Japon cherche encore à entrer en contact avec cinq Français dans ce pays ravagé par un terrible séisme, a indiqué lundi après-midi le ministère des Affaires étrangères, soulignant qu'à ce stade aucun Français n'est signalé parmi les victimes.

14h21. Le Japon fait face à un « accident nucléaire très grave » après la série de pannes dans la centrale de Fukushima et le « risque de grande catastrophe ne peut être écarté », a affirmé ce lundi à Bruxelles la ministre française de l'Environnement Nathalie Kosciusko-Morizet.

14h11. La compagnie Tepco, qui exploite la centrale atomique de Fukushima-Daiichi, a commencé à injecter de l'eau de mer dans le réacteur 2 pour tenter de le refroidir.

13h50. Pas de risque d'explosion selon le gouvernement.

Le porte-parole du gouvernement japonais juge improbable une grosse explosion au niveau du réacteur 2 de la centrale nucléaire Fukushima 1. Le réacteur 2 ne sera pas victime d'une grosse explosion due à l'accumulation d'hydrogène (comme celles qui se sont produites dans les bâtiments supérieurs des réacteurs 1 et 3), car le bâtiment du réacteur 2 est percé.

13h06. L'ambassade de France au Japon cherche encore à entrer en contact avec 17 Français, a indiqué le ministère des Affaires étrangères. Toutefois à ce stade aucun Français n'est signalé parmi les victimes, indique le ministère des affaires étangères.

11h59. Une fusion du cœur du réacteur 2 de la centrale atomique de Fukushima-Daiichi n'est pas à exclure, rapporte l’agence de presse japonaise Jiji, qui cite le propriétaire de la centrale, Tepco.

11h58. La Suisse suspend ses projets de renouvellement de centrales nucléaires.

11h57. Pas de menace nucléaire « globale » au Japon, selon Vladimir Poutine.

11h55. Les barres de combustible nucléaire du réacteur 2 de la centale de Fukushima-Daiichi sont entièrement à l’air libre, en raison d’un arrêt du circuit de refroidissement à l’eau.

10h52. Le circuit de refroidissement du réacteur 2 de la centrale atomique de Fukushima-Daiichi a cessé de fonctionner lundi. Selon l'agence de presse Jiji, le niveau de l'eau a baissé au point que des cartouches de combustible nucléaire pouvaient être désormais exposés pour partie à l'air libre.

9h49. Les constructeurs automobiles Toyota et Honda ont annoncé la suspension de leur production au Japon pendant au mois quelques jours à la suite du séisme et du tsunami qui ont durement frappé le nord-est du pays vendredi.

9h46. Les autorités japonaises sont parvenues à refroidir ce lundi deux réacteurs nucléaires d'une centrale de la côte nord-est du pays, Fukushima-Daini, située non loin de celle de Fukushima-Daiichi dont trois réacteurs posent toujours de gros problèmes, rapporte l'agence de presse Jiji.

9h35. L'Agence de sûreté nucléaire exclut un accident de type Tchernobyl.

9h18. La Fédération internationale de patinage (ISU) a annoncé lundi dans un communiqué l'annulation des Championnats du monde de patinage artistique prévus à Tokyo du 21 au 27 mars en raison des conséquences du séisme au Japon.

9h07. 2 000 corps ont été découverts par les secours dans le nord-est.

9h06. Eric Besson a fait volte-face. Il estime désormais la « situation préoccupante » au Japon. Et juge que l’hypothèse d’une catastrophe ne peut être écartée.

8h43. Paris est toujours sans nouvelles d’une vingtaine de ses ressortissants qui étaient dans la région nord-est du Japon au moment du séisme, a annoncé lundi l’ambassade de France au Japon.

7h38. Le système de refroidissement du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Fukushima 1 est « en panne », a annoncé lundi l’opérateur Tepco, cité par l’agence de presse Jiji.

7h06. L’indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a terminé lundi sa première séance depuis le séisme dévastateur au Japon vendredi sur un plongeon de 6,18 %, les investisseurs redoutant les conséquences de cette catastrophe qui aura des répercussions internationales.

5h18. L’alerte au tsunami sur les côtes nord-est du Japon a été levée lundi, vers 13h locale (06h), par les autorités des préfectures bordant la façade Pacifique.

4h14. L’explosion au réacteur 3 de Fukushima a fait sept disparus et trois blessés.

3h41. Le réacteur 3 de Fukushima a résisté à l’explosion, selon son opérateur.

3h20. Explosion au réacteur 3 de Fukushima montrée à la télévision NHK.

Le Japon s’est déplacé de 2,4 m



14 mars 2011
Axe de la Terre déplacée, jour plus court : le séisme a eu des répercussions géographiques.
Le violent tremblement de terre qui a secoué le Japon vendredi a eu des conséquences à l’échelle de la planète. Ainsi, selon l'Institut de géophysique américain (USGS), l’île principale de l’archipel nippon, Honchu, aurait été déplacée d’un coup de 2,4 mètres. Un chiffre colossal, quand l’on sait que la plaque du Pacifique, qui effectue une poussée contre l'extrémité ouest de la plaque nord-américaine, se déplace d’ordinaire chaque année de… 83 millimètres. Soit l’équivalent de près de 30 années de mouvement en 2 minutes.

"Un gros tremblement de terre comme celui-ci ne fait en fait que rattraper le retard accumulé au cours du temps. Les forces en jeu étaient devenues trop grandes", a expliqué Jean-Paul Montagnier, sismologue à l’Institut du Globe, à Paris, sur l’antenne d’Europe 1. "Le fait que la plaque se soit mise à bouger brutalement a déplacé les masses au-dessus et en-dessous et donc provoqué un déplacement du Japon. C’est tout à fait normal, il n’y a rien d’extraordinaire", a assuré l’expert.

Les jours plus courts

Par ailleurs, le même séisme aurait déplacé de près de 10 cm l'axe de rotation de la Terre, selon l'institut italien de géophysique et de vulcanologie. C’est plus que lors du séisme de Sumatra en 2004 (9,1 sur l’échelle de Richter), qui avait causé un tsunami meurtrier en Asie du Sud-est (228.000 mots) et avait déplacé l’axe de la planète de 7 centimètres. C’est plus aussi que lors du tremblement de terre du 27 février au Chili, d’une magnitude de 8,8 et qui avait désaxé la Terre de 8 centimètres.

La modification de l'axe terrestre a des répercussions sur la durée du jour solaire mais il s'agit de changements minimes et imperceptibles. Ainsi, selon la Nasa, le séisme chilien avait raccourci les jours d’1,26 microseconde. Le changement devrait être du même ordre pour le séisme japonais.

Japon : le coeur d'un réacteur serait entré en fusion



Une nouvelle explosion a eu lieu dans la centrale de Fukushima 1. Elle a touché le bâtiment du réacteur n°2. Mais comme dans le cas des réacteurs 1 et 3, l'enceinte de confinement serait intacte.

- L'autorité de sûreté nucléaire japonaise exclut un accident de type Tchernobyl. Des fuites très importantes ont néanmoins été relevées.

- 200.000 personnes ont été évacuées autour des réacteurs en questions. 190 ont été irradiées.

- La France invite ses ressortissants situés Tokyo à s'éloigner de la région.

15h07: voici un document rappelant la classification des "incidents" et "accidents" nucléaires. Selon les autorités japonaises, la situation à Fukushima serait classée niveau 4, c'est à dire un "acident ayant des conséquences locales".

14h56 : Le directeur de l'agence pour la sûreté nucléaire et industrielle du Japon fait état d'une situation difficile mais "stable" sur la BBC.

14h40 : selon NHK, la télévision publique japonaise, une fusion du coeur du réacteur n°2 a bien eu lieu à Fukushima 1. La température de celui-ci ne baisserait pas.

14h35 : selon le réseau Sortir du nucléaire, "un citoyen japonais autour de la centrale reçoit la dose annuelle tolérée en France en l'espace de 10 heures", "la radioactivité atteignait ce matin un niveau 400 fois supérieur à la normale à la préfecture de Miyagi, distante de 80 km de la centrale de Fukushima 1" ajoute le communiqué.

14h08 : Les ingénieurs de Tepco auraient réussi à faire remonter le niveau de l'eau à 2 mètres au dessus des barres de combustible du réacteur n°2 (Kyodo).

14h07 : Lelon le Crédit Suisse, le coût du séisme et du tsunami pourrait atteindre 171 milliards de dollars et replonger le pays dans la récession. A lire ici.

13h58 : Nathalie Kosciusko Morizet, en déplacement à Bruxelles, s'est exprimée sur la crise nucléaire au Japon. "Ce qui se passe au Japon est manifestement un accident nucléaire très grave (...) et le risque de grande catastrophe ne peut être écarté", a-t-elle déclaré au cours d'un point de presse. "Mais nous n'avons pas toutes les informations. Nous ne savons pas l'état du confinement du réacteur", a-t-elle précisé. "Il faut éviter que la structure de confinement du réacteur soit endommagée", a-t-elle ajouté. "Si le confinement du coeur du réacteur ne tient pas, alors on part dans un scénario catastrophe."
13h43 : le porte-parole du gouvernement japonais tient actuellement une conférence de presse. S'il reconnait la gravité de la situation, il se veut rassurant. Une explosion de type Tchernobyl est "improbable", les niveaux de radiations autour de la centrale sont "tolérables" et les travaux de refroidissement sont "en cours avec un bon espoir de réussite". Il admet cependant qu'une fusion du coeur des réacteurs est "probable".

13h26 : une excellente infographie (en anglais) du New York Times sur l'arrêt d'un réacteur nucléaire.

13h23 : selon Kyodo, deux réacteurs pourrait probablement avoir partiellement fondu à Fukushima 1.

13h21 : Le gouvernement juge improbable une grosse explosion dans le réacteur n°2 (Kyodo)

13h17 : le ballon dirigeable qui survole actuellement Paris mesure la radioactivité en Ile France. Mais cette opération était prévue de longue date, comme le confirme le Secrétatariat Général à la Défense Nationale, cité par l'AFP.

13h13 : de la vapeur - probablement radioactive - relachée depuis le réacteur n°2

12h28 : Kyodo affirme que les barres de combustibles sont à nouveau sous 30 cm d'eau. Un niveau qui reste malgré tout très insuffisant, selon un expert du Guardian.

12h23 : des coupures de courant ont lieu dans plusieurs préfectures, y compris à Tokyo. Elle étaient prévues et annoncées par Tepco, qui doit réduire la consommation d'électricité depuis la fermeture de plusieurs de ses centrales.

12h17 : l'agence Kyodo confirme que les barres de combustibles sont à l'air. Le risque de fusion est aggravé.

12h06 : selon Jiji, une agence de presse japonaise, la fusion ne peut plus être exclue, dans le réacteur n°2.

12h05 : la Suisse suspend ses projets de renouvellement de centrales nucléaires (officiel)

12h03 : les barres de combustibles nucléaires du réacteur n°2 sont totalement à l'air libre puisqu'il n'y a plus d'eau, en raison de la panne du systmè de refroidissement.

11h45 : L'agence Jiji affirme que les ingénieurs ne parviennent pas à refroidir le réacteur n°2 de Fukushima.
11h14 :L'agence de notation Moody's prévoit "de lourdes pertes" pour les assureurs et les réassureurs. les allemands Munich Re et Hannover Re, le français Scor, le suisse Swiss Re, l'américain Berkshire Hathaway, ainsi que les bermudiens PartnerRe et Everest Re devraient enregistrer les pertes brutes les plus élevées. Scor perdait 5% ce matin à la bourse de Paris.11h14 :L'agence de notation Moody's prévoit "de lourdes pertes" pour les assureurs et les réassureurs. les allemands Munich Re et Hannover Re, le français Scor, le suisse Swiss Re, l'américain Berkshire Hathaway, ainsi que les bermudiens PartnerRe et Everest Re devraient enregistrer les pertes brutes les plus élevées. Scor perdait 5% ce matin à la bourse de Paris.

10h30 : L'armée américaine affirme que les personnels de son porte-avions, le Ronald Reagan, envoyé sur les côtes touchées, a reçu des doses équivalentes à un mois de radiations naturelles.

10h10 : Il n'y a absolument aucune possibilité d'un Tchernobyl", a déclaré Koichiro Genba aux membres du parti au pouvoir, en rapportant l'avis de l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle.

9h45 : L'autorité de sûreté nucléaire japonaise a confirmé à l'AIEA (Agence internationale à l'Energie Atomique) l'explosion autour du réacteur n°2 (voir vidéo de la centrale de Fukushima. Néanmoins, l'AIEA affirme que "le bâtiment du réacteur a explosé mais l'enceinte de sécurité n'a pas été endommagée. La salle des contrôles du réacteur 3 reste opérationnelle."

9h30 : "La situation est préoccupante" confirme Eric Besson, ministre, chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique. "On est dans un accident nucléaire grave puisqu'il y a eu des fuites radioactives, mais on n'est pas dans une catastrophe" a-t-il ajouté sur France Inter.

9h20Après l'explosion du réacteur n°2, Tepco, l'opérateur de la centrale, tente d'ijecter de l'eau de mer à l'intérieur. Il reconnait ne pas savoir si l'eau a atteint sa cible.

9h à l'ouverture de la Bourse de Paris, le titre Areva cédait près de 10%. Celui d'EDF près de 5%. Tepco perdait 23,4% à la bourse de Tokyo.

7h - 9h : l'ensemble des matinales des radios sont consacrées à la crise au Japon. Le débat sur le nucléaire en France est vivement relancé.
8h24 : Tepco confirme que le système de refroidissement du réacteur n°2 est lui aussi en panne. Ceux des réacteurs 1 et 3 le sont depuis vendredi, jour du séisme et du tsunami. La centrale de Fukushima 1 comporte 6 réacteurs au total.

7h21 : Le niveau d'eau diminue dans le réacteur n°2 de la centrale de Fukushima. Difficultés grandissantes pour refroidir le coeur.

6h20 : début des délestages. L'électricité est alternativement coupée quartiers par quartiers au Nord du Japon et dans la région de Tokyo. Tepco veut réguler la demande alors que l'offre d'électricité est handicapée par les arrêts de 5 centrales nucléaires.

4h00 : explosion près du réacteur n°3 de la centrale de Fukushima.

Dimanche soir : l'IRSN, l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, confirme des "fuites très importantes".

La terre tremble encore au Japon


Moins de trois jours après le séisme, suivi d'un tsunami, qui a ravagé les côtes nord-est du Japon, une réplique de magnitude 5,8 a secoué la région de Tokyo. Une vague a été signalée en mer, une alerte au tsunami a été lancée ; mais il n'y a pas eu de nouveau raz-de-marée.Depuis le séisme de la fin de la semaine dernière, les sismologues japonais redoutent la survenue d'une forte réplique, qui pourrait aller jusqu'à 7 sur l'échelle de Richter, et serait potentiellement catastrophique pour les éventuels survivants bloqués dans des décombres et pour les équipes de secours. Les experts estiment qu'il y a 70% de risques qu'une réplique d'une telle magnitude se produise dans les trois prochains jours dans la même région. Tôt lundi matin, ce qu'ils redoutaient s'est produit : la terre a tremblé de nouveau.
Mais cette secousse a été moins violente : elle a atteint une magnitude de 5,8, selon l'Institut de géophysique américain. Elle s'est produite à 10 heures locales ; l'épicentre de ce nouveau séisme, fortement ressenti à Tokyo, était situé en mer à 150 km au nord-est de la capitale au large de la préfecture d'Ibaraki.

Ordre d'évacuation pour le port de Hachinoe

Sitôt après la secousse, tous les yeux se sont braqués au large. Et en fin de matinée, bien après cette réplique, un hélicoptère des pompiers a signalé une vague, dont la hauteur était évaluée à trois mètres, au large de la préfecture de Fukushima, où se trouvent plusieurs centrales nucléaires. Pour l'Agence météorologique japonaise, chargée de suivre les séismes et les tsunamis, cette vague était repérée bien trop tard pour avoir pu être causée par le tremblement de terre de 10 heures du matin, et aucune autre réplique n'avait été enregistrée depuis lors ; mais après le traumatisme de la semaine passée, une alerte au tsunami n'en a pas moins été lancée. Avec d'autant plus de rapidité que cette même Agence avait reconnu dans le même temps que ses installations avaient pu être endommagées par le précédent séisme, et ne plus être fiables ; et que les médias japonais avaient fait état d'une baisse du niveau de la mer près de la côte, possible signe annonciateur d'un tsunami.

Les autorités des préfectures bordant la façade Pacifique ont invité les riverains à se mettre à l'abri. Celles du port de Hachinoe, dans la préfecture d'Aomori, ont même envoyé un ordre d'évacuation concernant les 13.000 habitants de la ville. Mais le raz-de-marée redouté n'est pas venu. "Il n'y a plus de crainte d'un tsunami pour le moment, mais nous continuons à demander aux résidents de rester vigilants", a simplement commenté un responsable de la préfecture de Fukushima. Le risque d'une réplique de magnitude 7, voire au-delà, n'est toujours pas écarté pour les prochaines heures.

الأحد، 13 مارس 2011

Jeune fille-ISHINOMAKI



Les dangers de la radioactivité



Publié le 13.03.2011
Nous baignons en permanence dans une radioactivité naturelle. Mais elle n’a rien à voir celle que le corps subit lors de catastrophes nucléaires comme celle de Tchernobyl en 1986 ou du Japon aujourd’hui. Chef du département de protection de la santé de l’homme à l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et médecin radiopathologiste, Patrick Gourmelon distingue deux types d’exposition à la radioactivité.
« Il y a tout d’abord les cas où la dose est tellement forte que les rayons atteignent le fonctionnement de nos cellules, explique-t-il. Celles-ci sont alors incapables de se reproduire. La radioactivité s’attaque particulièrement aux cellules souches de la moelle osseuse et à celles de l’intestin. Ces affections ne concernent que les personnes directement en contact avec un réacteur nucléaire, comme les pompiers qui sont intervenus à Tchernobyl. »

Augmentation du risque de cancer

En cas d’accident, deux possibilités. « La première est de distribuer des comprimés d’iode aux populations les plus fragiles comme les nourrissons, les enfants, les femmes enceintes... Le mieux est de les prendre une heure avant. Au-delà de vingt-quatre heures, cela ne sert plus à rien, car les risques sont plus importants que les bénéfices. La seconde est d’évacuer la population ou, si ce n’est pas possible, de faire en sorte que les gens restent confinés. »
Même une fois l’alerte passée, il convient de rester prudent. « Les rejets radioactifs contaminent l’environnement en se fixant sur les végétaux qui sont ingurgités par les animaux, détaille le spécialiste. Or, il ne faut que trois jours au lait de vache pour qu’il soit infecté. Au bout de trois semaines, c’est sa viande qui est touchée. »
Des expositions plus faibles sont également possibles. « Dans ce cas, souligne Patrick Gourmelon, il n’y a pas d’effet visible sur les tissus, mais une augmentation du risque de contracter un cancer. On sait que les rayons peuvent provoquer des leucémies, ou des cancers de la thyroïde chez l’enfant, comme on l’a constaté à Tchernobyl. »
Sources: Le Parisien

السبت، 12 مارس 2011

Japon : le caisson du réacteur pas touché


Par Europe1.fr avec agences

Publié le 12 mars 2011 à 09h22 Mis à jour le 12 mars 2011 à 13h54
EN DIRECT - Suivez les conséquences du séisme au Japon sur les centrales nucléaires.

Après le terrible séisme qui a frappé vendredi le nord-est du Japon et provoqué un tsunami, les survivants sont confrontés samedi à la menace nucléaire, après l'explosion survenue samedi matin dans la centrale Fukushima à Daiichi, sur la côte nord-est du Japon.

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13h00 : Pas d'explosion au niveau du caisson du réacteur. L'explosion survenue samedi à la centrale nucléaire de Daiichi ne s'est pas produite au niveau du caisson du réacteur, a assuré le secrétaire général du gouvernement japonais.

12h55: Les radiations ont baissé après l'explosion. Les radiations sur le site de la centrale nucléaire Fukushima N°1 ont baissé après l'explosion survenue samedi, a assuré le porte-parole du gouvernement japonais.

12h50 : Appel au calme de la population. Le Premier ministre japonais Naoto Kan a appelé samedi la population au calme autour des réacteurs nucléaires de Fukushima (nord-est), déréglés par le séisme, ajoutant que le gouvernement fera tout son possible pour protéger la santé des habitants.

12h00 : L'hydrogène à l'origine de l'explosion ? L'explosion survenue samedi à la centrale nucléaire japonaise de Fukushima est due à de l'hydrogène, a assuré samedi un expert selon lequel l'incident n'a pas forcément donné lieu à une fuite radioactive.

11h45 : Dégâts sérieux du caisson du réacteur peu probables. L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle japonaise juge peu probables de sérieux dégâts affectant le caisson du réacteur de la centrale Fukushima N°1 où s'est produit une explosion.
11h30 : "un nouveau Tchernobyl". Pour le Réseau Sortir du nucléaire, l'explosion à la centrale nucléaire de Fukushima est "un accident nucléaire majeur gravissime", comparable à l'accident de Three Mile Island et deTchernobyl, qui s'est déroulé il y a tout juste 25 ans.

11h15 : L'ordre d'évacuation étendu. L'ordre d'évacuation a été étendu à un rayon de 20 km autour de la centrale, rapporte la télévision publique NHK.

11h :Les autorités confirment. Le secrétaire général du gouvernement japonais confirme qu'une explosion et une fuite radioactive se sont produites à la centrale de Daiichi, dans la préfecture de Fukushima.
10h40 : L’avis de Thierry Charles, le directeur sûreté de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire(IRSN). Interrogé samedi matin par i-Télé, Thierry Charles, le directeur sûreté de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), ne cache pas son inquiétude suite à l'explosion intervenue à la centrale japonaise de Fukushima. Pour l'expert, tout dépend maintenant de la "qualité de l'enceinte de confinement" qui entoure ce réacteur principal. Or, en raison de l'effondrement de son toit, cette enceinte a tous les risques d'être "dégradée", même si, en l'état, rien ne permet de l'affirmer clairement. En tout état de cause, l'hypothèse de "conséquences très graves" pour la population et l'environnement n'est pas à exclure, affirme l’expert.

9h52 :Des "super pompiers" attendus. Des "super pompiers" vont être envoyés à la centrale nucléaire de Fukushima, a annoncé le porte-parole du gouvernement japonais.

9h48 : La radioactivité reçue égale la limite annuelle. La radioactivité reçue en une heure par une personne se trouvant sur le site de la centrale nucléaire, correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement, a indiqué samedi l'agence Kyodo.
9h47 : Les recommandations données aux Japonais. La télévision publique NHK a conseillé aux Japonais de se calfeutrer chez eux et de fermer leur fenêtre dans un périmètre "plus large que les 10 km de zone évacuée", samedi après l'explosion survenue dans un réacteur de la centrale nucléaire de Fukushima N°1. Les experts de la chaîne conseillent aussi aux personnes à l'extérieur de se protéger les voies respiratoires avec une serviette mouillée et de se couvrir au maximum pour éviter les contacts directs de la peau avec l'air.

9h25 : Le toit du réacteur s'est effondré. Le toit et les murs du bâtiment du réacteur de Fukushima se sont effondrés, a annoncé la préfecture locale. Selon les premiers éléments l'incident s'est produit alors que l'opérateur Tokyo Electric Power Co tentait de réduire la pression dans le coeur du réacteur pour éviter une fuite radioactive.

9h : Une explosion a été entendue vers 7h30, heure de Paris, dans la centrale de Fukushima à Daiichi, sur la côte nord-est du Japon. Selon l'agence chargée de la sécurité nucléaire, la déflagration ne provenait pas du réacteur de la centrale. Le niveau d'eau n'y est pas anormal, précise Jiji, citant l'opérateur Tepco. La télévision publique NHK, qui a diffusé des images montrant ce qui semble être un nuage de vapeur s'élevant au dessus de la centrale, fait état de plusieurs blessés. La centrale est située à 240 km au nord de Tokyo.
Sources:Europe1.fr avec agences

Explosion dans une centrale nucléaire au Japon



12/03/2011
Un violent tsunami a dévasté le Japon, vendredi.
MINUTE PAR MINUTE - Un nuage blanc s'élève au-dessus de la centrale Fukushima n°1. Selon l'agence chargée de la sécurité nucléaire, la déflagration ne provenait pas du réacteur.

9h00 : Une explosion a été entendue à la centrale nucléaire de Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon, et un nuage blanc s'élève au-dessus du site. Plusieurs employés ont été blessés par la déflagration. Cette installation est située à 250 kilomètres au nord de Tokyo (cf. carte ci-dessous).

8h43 : Le bilan humain provisoire s'élève à 703 morts. Quelque 784 personnes sont par ailleurs toujours portées disparues et 1128 blessés ont été signalés.

6h49 : L'Agence de sécurité nucléaire estime qu'une fusion pourrait être en cours dans le réacteur N°1 de la centrale nucléaire Fukushima N°1, dans le nord-est du Japon.

Un porte-parole de la compagnie d'électricité Tokyo Electric Power (Tepco), exploitante du site, a cependant affirmé qu'un tel phénomène «n'était pas en cours» et que la compagnie tentait «de faire remonter le niveau d'eau», pour refroidir le réacteur.

Des dysfonctionnements du système de refroidissement de ce réacteur numéro 1 avaient auparavant été signalés, ainsi qu'une élévation anormale de la pression interne. Tepco avait alors reçu des autorités l'instruction de laisser s'échapper des vapeurs comportant des substances radioactives pour faire descendre la pression, après avoir évacué la zone dans un rayon de 10 kilomètres.

Par ailleurs, du césium radioactif a été détecté aux alentours de cette centrale, a assuré l'agence Kyodo, citant les responsables de la sûreté nucléaire.
VENDREDI : un séisme d'une ampleur historique

L'organisme américain de surveillance géologique (USGS) a mesuré une magnitude de 8,9 à 6h46 heure française (14h46 au Japon) pour la première secousse. Une telle ampleur est rarissime. C'est le plus puissant tremblement de terre au Japon, en intensité, depuis 140 ans. D'après les relevés de l'USGS, ce serait même le 5e plus puissant séisme enregistré dans le monde depuis 1900. Le séisme meurtrier au Chili en mars 2010 (8,8) est le dernier à avoir atteint une magnitude comparable. A titre de comparaison, le tremblement de terre en Haïti en janvier 2010 n'avait pas dépassé 7,3 de magnitude.

Après le séisme, des alertes au tsunami ont été lancées. Des vagues importantes pourraient en effet toucher pratiquement toutes les côtes du Pacifique.

» Alerte au tsunami de l'Australie à l'Amérique

• D'importants dégâts matériels

L'ampleur des dégâts est difficile, pour l'heure, à établir. Mais de nombreuses maisons ont été enfouies sous une gigantesque coulée de boue et plusieurs bâtisses ont brûlé dans les zones rurales les plus proches de l'épicentre. Au moins six incendies ont été signalés dans la capitale, et 80 dans l'ensemble des zones touchées.

Au centre de Tokyo, le toit d'un bâtiment s'est écroulé au moment où 600 étudiants participaient à une cérémonie de remise de diplôme, faisant plusieurs blessés.

D'ores et déjà, le coût de cette catastrophe naturelle s'élève à des dizaines de milliards. En 1995, la catastrophe de Kobé avait coûté 100 milliards de dollars au Japon, et 3 milliards aux assureurs

• Un pays paralysé

L'aéroport de Narita a été momentanément fermé. Mais les liaisons ferroviaires de la capitale vers le nord du pays restent perturbées. L'agence Kyodo ajoute que quatre millions de foyers sont privés d'électricité dans Tokyo et sa région.

• L'armée japonaise mobilisée

Le gouvernement fait de son mieux pour coordonner les secours et opérations de sauvetage, «en prenant comme hypothèse que ce tremblement de terre a fait des dégâts considérables», a affirmé sa porte-parole, Yukio Edano.

Dans les rues, pas de scènes de panique : les Japonais sont entraînés à affronter ce type de catastrophe, comme en témoigne Silvère Boucher-Lambert, journaliste au figaro.fr, qui se trouvait dans le métro tokyoite au moment du séisme. «J'ai vu des centaines de Japonais s'aligner spontanément contre les murs et les piliers, une main sur la paroi, raconte-t-il. «Les immeubles ont été évacués dans la calme, voire la bonne humeur, le personnel des crèches a formé des cordons autour des bambins coiffés de casques autogonflants. Tout le monde est resté zen», précise-t-il. Depuis, les répliques sont «assez fréquentes» mais il n'a constaté «aucune panique apparente». «La circulation automobile continue de se faire» confirme un conseiller à l'ambassade de France à Tokyo, Jean Quellier.
sOURCES/ lefigaro.fr

الأحد، 27 فبراير 2011

L'histoire du jour



Roméo, ce renard qui a passé 15 jours dans un gratte-ciel de Londres
Vous avez dit « rusé comme un renard » ? Roméo, comme l'ont surnommé ses secouristes, s'est surtout montré intrépide en réussissant à se faufiler jusqu'au 72e étage de la tour Shard, plus haut gratte-ciel de Londres. Dans ce bâtiment en construction, l'audacieux renard a passé deux semaines, ni vu ni connu, avant d'être finalement découvert à bout de force. Roméo serait entré dans le hall de l'édifice, aurait emprunté les escaliers et se serait retrouvé piégé dans les étages à 288 mètres de hauteur, incapable de trouver la sortie. Instinct de survie ou ruse de renard ? Roméo a réussi à survivre à ces deux semaines de réclusion en mangeant les restes de nourriture laissés sur place par les ouvriers du chantier de la tour Shard. Apeuré, Roméo a été recueilli par un refuge pour animaux où il a été soigné et copieusement nourri. Après avoir repris du poil de la bête, le renard a été remis en liberté dans les rues de la capitale londonienne une fois la nuit tombée. Ted Burden, le fondateur du refuge qui a accueilli l'animal, a assuré que Roméo avait regardé le Shard avant de partir dans une autre direction. Les renards pullulent dans les villes britanniques. À Londres, ils seraient environ 10 000 creusant leurs terriers dans les espaces verts et vivant de restes dénichés la nuit dans les poubelles.
(27/02/2011 06:54 | LaDepeche.fr )

السبت، 18 ديسمبر 2010

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الاثنين، 13 ديسمبر 2010

Tempête de sable en Egypte



10:29 13/12/2010
© REUTERS/ Amr Abdallah Dalsh
LE CAIRE, 13 décembre - RIA Novosti

La tempête de sable et les précipitations qui se sont abattues sur l'Égypte ont fait dimanche au moins 13 morts et 54 blessés, a annoncé lundi le portail 10:29 13/12/2010
© REUTERS/ Amr Abdallah Dalsh
LE CAIRE, 13 décembre - RIA Novosti

La tempête de sable et les précipitations qui se sont abattues sur l'Egypte ont fait dimanche au moins 13 morts et 54 blessés, a annoncé lundi le portail Internet Masrawi.

Une tempête de sable accompagnée d'une baisse brutale de la température a provoqué de nombreux accidents de voiture dans le pays, faisant 10 morts et 54 blessés.

Par ailleurs, les pluies diluviennes qui se sont abattues sur le nord du pays ont provoqué l'effondrement d'une usine textile en Alexandrie, tuant un ouvrier et faisant neuf blessés. Une trentaine d'ouvriers restent toujours sous les décombres.

Vendredi, le temps s'est fortement détérioré en Egypte et dans les pays avoisinants. Des vents violents ont apporté des nuages de sable, réduisant la visibilité.

La tempête de sable a obligé à interrompre l'activité des aéroports et des ports égyptiens, certaines autoroutes ayant été fermées


Une tempête de sable accompagnée d'une baisse brutale de la température a provoqué de nombreux accidents de voiture dans le pays, faisant 10 morts et 54 blessés.

Par ailleurs, les pluies diluviennes qui se sont abattues sur le nord du pays ont provoqué l'effondrement d'une usine textile en Alexandrie, tuant un ouvrier et faisant neuf blessés. Une trentaine d'ouvriers restent toujours sous les décombres.

Vendredi, le temps s'est fortement détérioré en Égypte et dans les pays avoisinants. Des vents violents ont apporté des nuages de sable, réduisant la visibilité.

La tempête de sable a obligé à interrompre l'activité des aéroports et des ports égyptiens, certaines autoroutes ayant été fermées

الأربعاء، 8 ديسمبر 2010

الأربعاء، 1 ديسمبر 2010

Winter in West of Europe !



الخميس، 18 نوفمبر 2010

1992-2010 Miat



الثلاثاء، 9 نوفمبر 2010

La pauvreté gagne du terrain en France





De plus en plus de pauvres, souvent jeunes, étranglés par des fins de mois difficiles : tel est le constat dressé par un rapport du Secours catholique sur l'année 2009 en France, celle de la crise.

Les chiffres. Pour la seconde année consécutive, le nombre de situations de pauvreté constatées par l'organisation a augmenté de 2,1%, représentant 1,48 million de personnes. Dans 94% des cas, les personnes aidées vivent sous le seuil de pauvreté, établi à 950 euros par mois. Près d'un tiers (29%) sont de nationalité étrangère.

Familles en difficulté. Si les familles monoparentales sont largement représentées, la part des couples avec enfants augmente: 21,8% des situations rencontrées, contre 20,5% en 2008. «Lorsqu'un des deux adultes perd son emploi, la famille peut se trouver rapidement en difficulté», dit le rapport.

De plus en plus de jeunes. La pauvreté en France touche de plus en plus de jeunes: 11% ont moins de 25 ans, la moitié a moins de 40 ans.

Phénomène nouveau : les actifs. , les actifs représentent 62% des personnes accueillies, dont 41,9% cherchent un emploi. «Ce sont des gens qui ont des revenus et qui, en d'autres temps, ne seraient pas venus nous voir», a dit François Soulage, président du Secours catholique.

Le revenu de solidarité active (RSA), créé en 2008 pour rendre l'emploi plus attractif, n'a pas changé la donne. «En juin 2010, le RSA activité a concerné 174 000 personnes. Or, on pensait qu'il y en aurait 600 000 ou 700 000. Nous avons constaté que plus de la moitié des personnes dont on sait qu'elles pourraient le demander ne le font pas», note François Soulage.

Entre frais incompressibles et frais souples. Le Secours catholique a tenté de mieux comprendre la situation des personnes en difficulté en analysant en détail le budget mensuel de 1 163 foyers. Les frais incompressibles, tels que le logement, l'énergie, le transport, ceux liés aux enfants, représentent pour les ménages en difficulté une part très élevée de leur budget, de l'ordre des deux tiers. A cela s'ajoutent les dépenses dites «souples» comme l'alimentation et l'habillement puis les dépenses dites exceptionnelles qui concernent la santé, l'entretien du logement et du véhicule.

«En l'absence de revenus complémentaires, aucun des ménages que nous aidons ne peut faire face, sans basculer dans l'endettement, à ces charges exceptionnelles», notent les auteurs du rapport.

Manque d’information sur les dispositifs d’aide. Pour faire face, les ménages sont obligés de se débrouiller par tous les moyens en faisant appel aux associations caritatives, à leur famille ou leurs voisins.

«Ils vivent au jour le jour sans souvent faire valoir leurs droits à des dispositifs qui pourraient les aider, faute notamment d'information suffisante (tarifs sociaux de l'énergie, CMU, RSA, etc.) ou par crainte d'être stigmatisés», lit-on dans le rapport.