Je suis celui à qui les lettres obscures disent : Écris et tu seras ! Lis et tu trouveras !
Mahmoud Darwich, Murale
Mahmoud Darwich, unanimement reconnu comme le plus grand poète arabe du 20ème siècle, écrit Murale en 1998, entre la vie et la mort. Murale n’est pourtant pas un testament, c’est un hymne à la vie adressé à la mort, compagne d’un moment, que le poète a su faire ployer pour la déguiser en muse. Mahmoud Darwich nous touche de très près, sans exception, par ce qu’il a dû trouver ses mots quand la mort le toisait. Sa poésie est celle des mots simples qui une fois dits restent autour de nous. Jamais la vie ne nous apparaît plus brillante ni plus nécessaire que dans cet entre-deux-mondes chaotique. Murale est un poème des plus fulgurants parce qu’il est essentiellement et purement humain. Il réanime l’âme. Il célèbre la vie. La langue de Darwich est habitée par l’Orient. On y trouve une puissante dimension intime et politique où l’espoir garde toujours une place dans la chute. Wissam Arbache révèle brillamment les codes du poème. Il parvient à en trouver les formes les plus justes sur scène. Le saxophone nous guide dans la musicalité de cette langue, dans sa sensualité, dont les acteurs s’emparent et dont ils imprègnent les mots en français et en arabe.
Mahmoud Darwich, poète
Figure primordiale de la littérature palestinienne, défenseur de son peuple et de la paix.
Mahmoud Darwich, Murale
Mahmoud Darwich, unanimement reconnu comme le plus grand poète arabe du 20ème siècle, écrit Murale en 1998, entre la vie et la mort. Murale n’est pourtant pas un testament, c’est un hymne à la vie adressé à la mort, compagne d’un moment, que le poète a su faire ployer pour la déguiser en muse. Mahmoud Darwich nous touche de très près, sans exception, par ce qu’il a dû trouver ses mots quand la mort le toisait. Sa poésie est celle des mots simples qui une fois dits restent autour de nous. Jamais la vie ne nous apparaît plus brillante ni plus nécessaire que dans cet entre-deux-mondes chaotique. Murale est un poème des plus fulgurants parce qu’il est essentiellement et purement humain. Il réanime l’âme. Il célèbre la vie. La langue de Darwich est habitée par l’Orient. On y trouve une puissante dimension intime et politique où l’espoir garde toujours une place dans la chute. Wissam Arbache révèle brillamment les codes du poème. Il parvient à en trouver les formes les plus justes sur scène. Le saxophone nous guide dans la musicalité de cette langue, dans sa sensualité, dont les acteurs s’emparent et dont ils imprègnent les mots en français et en arabe.
Mahmoud Darwich, poète
Figure primordiale de la littérature palestinienne, défenseur de son peuple et de la paix.
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